#la vessie
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Comment soigner le trouble de la vessie natatoire ?
L’aquariophilie est un passe-temps passionnant permettant à des espèces fascinantes de se développer dans nos aquariums. Cependant, même dans ce monde aquatique paisible, des problèmes de santé peuvent survenir. L’un de ces problèmes, le trouble de la vessie natatoire, peut troubler l’équilibre et la sérénité de nos poissons bien-aimés. C’est le sujet de cet article. Imaginez un instant que…
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i drank a beer that expired in 2014 earlier and idk what it's doing to my guts but it's doing it alright
#nothing too inconvenient but i was wondering who was acting up in there and why now it just hit me there might be a correlation#i'll drink another bottle tomorrow to see if the symptoms persist#my grandpa always wanted to have beer in the house in case they had guest but he passed away a couple years back#it's like i'm having a drink with him <3#papy ta bière elle donne mal à la vessie même si c'est de la pils et qu'elle a surprenament encore du gaz dedans#en vrai je l'ai bien appréciée mercii 💝��
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J'avais totalement oublié que j'avais rdv gynéco ce matin ! On commençait à partir pour Chambéry quand mon portable m'a envoyé un rappel pour le rdv qui était dans 6mn 🤦 heureusement j'ai pu y aller !
Résultats ! La gygy est persuadé que j'ai des ovaires polykystiques et je dois faire une écho dans 1 mois à peu près, prise de sang à faire pour les hormones mâle qui peut être faussé à cause de ma pillule (en gros le traitement pour l'excès d'hormones c'est ma pilule donc bon...). Et pour mes infections urinaires chroniques...6 mois d'antibiotiques pour nettoyer au complet la vessie. 😭
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Every time I've went through this book, I was intimidated by this one. That and the price of this recipe is ridiculous, so fucking it up would cost me around a hundred bucks.
This one is a riff on the old French classic of steaming a truffled chicken in a pigs bladder. It's served with a foie gras and black truffle sauce, and is meant to be done with a Bresse chicken, which is a fancy French breed. Obviously I couldn't find that breed of chicken here, but I did get all of the other ingredients. Tony says the chicken substitution is totally acceptable as well.
Intimidating, yet simple. Starts by making a court boullion by combining a carrot, a stalk of celery and a leek with a pinch of peppercorns and a sprig of thyme. Pour in a cup of wine for two quarts of water and boil for fifteen minutes. Strain it, and this is what you'll steam your chicken with.
Truffles. Never tried them, never worked with them, always thought they were ridiculous with the insane pricing you hear about. These three cost me thirty dollars, but they're not fresh. They were jarred and in a small amount of brine.
Slide the slices of truffle under the skin of the chicken breast, along with a couple chunks of butter. Wrap in cheesecloth and secure with twine.
I broke a strainer to use as my steaming basket. Boil the court boullion and pop the chicken on the basket. Cook at a high simmer with a lid for 45-50 minutes, rest for 10.
This would look better with some browning, but what do I know. Now, this fucking sauce.
I searched EVERYWHERE to find this. Nowhere had it. I asked online and had people climb up my ass about it. Don't message me about foie gras animal cruelty. I know it exists, I'm eating it once not starting a foie gras factory. Moving on.
Anyway, I finally found it on a shelf in a French pastry shop by chance. Blend this whole can with two truffles, some cream and butter and white pepper. Thin it with hot court boullion if necessary.
I thinned this too much. My butter solidified with the cold cream and I panicked thinking that the sauce had curdled. I splashed a bit more boullion than necessary, and here we are. Flavour is fantastic though, so rich and smooth.
Ignore my ugly peas, they weren't required. Neither were the potatoes, but come on. A French dish with cream sauce without potatoes? No way.
| Poulet "en Vessie": Hommage à la Mère Brazier |
Taste is a 4 out of 5. Rich and classic. Steaming the chicken keeps it so perfectly moist.
Difficulty is a 3 out of 5. Not difficult, just particular.
Time was about two hours.
As I was packing up the leftovers, I realized this sauce smells like a very fancy mushroom soup. Smells fucking great, and you could put it on anything. Which is a good thing, because I have like 3 cups of it to use up. No way in hell I'm throwing any out, the sauce alone has about 70 bucks sunk into it...
#anthony bourdain#appetites a cookbook#cooking#recipe#chicken#truffles#foie gras#french food#Court boullion
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Bon ça faisait des mois que j'avais plus fait de post pour me plaindre de ma vie pour tout un tas de raisons, mais là, j'ai besoin
Y'a un an, j'ai reçu ma nouvelle carte vitale. J'ai du coup enclenché le fait de prendre rdv chez des medecins pour commencer la transition hormonale
Et bah dites vous que, un an plus tard, rien n'est encore en route. En toute bonne fois, mon endoc m'a aiguillé vers un organisme qui s'occupe de la préservation de fertilité, et j'ai enclenché une procédure pour preserver mes ovocytes avant de commencer la t.
A ce jour, je n'ai toujours pas de date pour cette intervention, parce que :
On m'a trouvé un kyste sur l'ovaire qui fait la taille de ma vessie lorsqu'elle est pleine, au 3eme rdv où normalement on aurakt du booker l'intervention
Ce kyste m'a toujours pas été retiré car ce n'est pas une tumeur (la seule bonne nouvelle dans toutes ces galères), mais surtout parce que j'ai été aussi dans la foulée de ces rdv diagnostiqué avec une maladie du sang qui court dans ma famille, et qui empêche mon sang de coaguler (c'est pas de l'hemophilie car ça ne touche pas les mêmes gènes mais ça fonctionne exactement pareil, dans une dimension moins violente), et j'ai beau avoir une forme peu grave ça rend tout le bazar de me faire opérer hyper long et chiant parce qu'on doit planifier tout très a l'avance et dans les moindres détails pour que j'evite de faire une hémorragie sur la table ou en post op
J'ai toujours RIEN de prévu. Je dois faire retirer ce kyste mais ma praticienne est très occupée, c'est un enfer pour elle de se libérer pour me voir, malgré toutes ses qualités (cest littéralement la meilleure humainement parlant, elle croule juste sous le taf, donc ça lui est même pas reprochable), et les autres praticiens que j'ai vu pour l'ablation du kyste ne veulent pas m'opérer a cause de ma maladie, quand bien même mon cas n'est pas sévère.
Mon seul espoir, pour enlever ce machin absolument disgracieux, qui me fait mal à en crever (je refuse de prendre de gros anti douleurs plus qu'occasionnellement, surtout que ca fait 9 mois que j'ai des douleurs chroniques a cause de ca), et qui me rend incroyablement dysphorique, cest cette gyneco qui fait tout ce qu'elle peut pour me voir le plus souvent, a savoir tous les 3 mois dans le meilleur des cas. Mon seul espoir de prélever mes ovocyt3s avant la t, cest elle aussi
Et bien évidemment, je peux pas prendre une hormone qui risque d'augmenter ma probabilité de développer d'autres kystes tant qu'un aussi gros est encore là
Je suis
Perdu
#le rarou#un peu de ouin ouin vous m'en excuserez#jsuis fatigué#je suis le mec le moins patient de l'univers et dieu m'envoie seulement des situations où il faut l'etre#jlai appelé kurt kystus#transgender#ftm#sopk#pcos#je suis meme pas sur d'avoir le sopk#j'ai mal depuis 10 ans régulièrement mais aucun suivi gyneco avznt mes 23 ans#donc le diag est impossible pour l'instant
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L’amour et la mort. Ces deux termes s’associent très vite quand l’un est écrit. Il m’a fallu aller à Chatila pour percevoir l’obscénité de l’amour et l’obscénité de la mort. Les corps, dans les deux cas, n’ont plus rien à cacher : postures contorsions, gestes, signes, silences mêmes appartiennent à un monde et à l’autre. Le corps d’un homme de trente-cinq ans était couché sur le ventre. Comme si tout le corps n’était qu’une vessie en forme d’homme, il avait gonflé sous le soleil et par la chimie de la décomposition jusqu’à tendre le pantalon qui risquait d’éclater aux fesses et aux cuisses. La seule partie du visage que je pus voir était violette et noire. Un peu plus haut que le genou, la cuisse repliée montrait une plaie, sous l’étoffe déchirée. Origine de la plaie : une baïonnette, un couteau, un poignard ? Des mouches sur la plaie et autour d’elle. La tête plus grosse qu’une pastèque – une pastèque noire. Jean Genet, « Quatre heures à Chatila », in L’Ennemi déclaré, Gallimard, 1991
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C'est quoi cet after ? 🕺🏼
Cette nuit j'ai rêvé que j'essayais de pisser dans des wc que je connaissais aps calés sur une l'estrade d'une grande salle. J'arrive pas à pisser je suis intimidée mais c'est normal je suis à poil enroulée dans ma couette je comprends pas pourquoi ni où je suis. Allez là faut que je pisse ma race j'entends des gens qui arrivent en plus. Et vlà les 577 députés qui s'installent dans l'Hémicycle mais quelle idée d'avoir foutu les chiottes sur le perchoir aussi et pourquoi j'ai pas mon pyjama mais c'est quoi cet after !?? Tout le monde me regarde. Je débloque le niveau super vessie parce qu'il faut que je m'arrache. Ça marche j'arrive à copieusement arroser la cuvette avec un peu de moquette car je m'assied pas sur des wc qui sont pas à moi. Je suis partie enveloppée dans ma couette comme une cape de justicier et j'ai laissé ces messieurs-dames foutre la merde dans le pays tranquilement. Et je me suis réveillée.
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On essaie de voir pour partir à Pragues cet été, je ne suis pas sortie de la France depuis 2019 donc j’avoue que j’en serais très heureuse mais les priiiix. C’est honteux. On voulait prendre un interrail mais avec mes pb de vessie et l’anxiété d’amour ce serait une galère sans nom. On a besoin d’un minimum de confort au moins le temps que nos santés respectives aillent mieux !
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Marseille, il y a maintenant 3 semaines. Il y avait au MuCEM, une expo "Passions Partagées" sur la collection d'Yvon Lambert, face à certains objets du musée.
Christian Marclay : "Sound Sheet"
disque d'Or à IAM pour "L'Ecole du Micro d'Argent"
Christian Marclay - de série "Imaginary Records"
Matisse Mesnil : "Grappe de Raisin"
pigment vert de vessie (???!!) - A la Momie - Paris, 1850
autres pigments du même établissement
maquette de grue radoub du Havre - 1930
#marseille#MuCEM#passions partagées#art contemporain#yvon lambert#christian marclay#disque#cd#disque d'or#IAM#l'école du micro d'argent#mireille mathieu#charles aznavour#matisse mesnil#grappe#raisin#pigment#vert de vessie#soufre#bleu de berlin#chrome#grue#grue radoub#le havre#maquette
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J’ai trop envie de pisser… Je vous jure ma vessie est tellement pleine qu’elle pourrait régler la sécheresse dans le monde ! 🥹🥹🥹
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🧑🍳 🚩 [Hyewon]
send an emoji or series of emojis for my muse to answer the very simple and random associated question in character !
🧑🍳 what was the last thing you cooked ? was it good ? 🚩 whats a red flag for you ?
"Pollo 'en vessie' y tartaleta de frutas, Sully pidió una comida típica de mi hogar y preparé porciones para Yohan y Mei. Me enorgullece decir que estuvo delicioso." y sus queridos compañeros estaban de acuerdo. "¿Red flags? Eso es fácil; soy cantante, cariño y no podría estar con alguien que no aprecie las canciones que le dedico o peor, que me pida callar porque le 'molesto'"
#su ex novio de fontaine le dijo una vez que estaba aburrido que cantase todo el día#y hyewon lo lanzó al mar y nunca volvió a mirarla a los ojos (?)#trabaja en una tienda de ropa. por si sully algún día quiere ir DIGO(?)#( dialogue: jun hyewon )#mikrokosmcs
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✌️ : favorite proverb / saying from your language
j’en trouve tellement intéressant pcq je parle anglais comme langue maternelle alors merci mon gars (j’espère que c’est assez non genré 😭 la langue française est casse-couilles qqf)
tkt tkt j'aime juste pas me genrer moi-même, c'est tout bon
du coup bien sûr j'ai reblogué ça sans penser à quoi que ce soit et maintenant que faut réfléchir y'a rien qui vient chuis un génie. je vais faire une liste évidemment.
✌️ : favorite proverb / saying from your language
"Y'en a pas un pour rattraper l'autre" j'aime bien, on me le dit souvent :') mais c'est un peu plan plan c'est pas très drôle. J'adore citer "le coeur a ses raisons que la raison ignore" à toutes les sauces pcq j'adore post-ironiquement péter plus haut que mon cul, mais c'est plus une citation qu'un proverbe. J'aime bien "aide toi et le ciel t'aidera" mais ça fait hyper catho quand même mdr. "Prendre des vessies pour des lanternes" ça me faisait rire quand j'étais gosse aussi.
Mais la meilleure d'entre toutes, ma réponse finale, c'est un vote pour "j'y vais au talent", parce que c'est un peu ma philosophie de vie au fond. Vive le je m'en foutisme.
#merci pour la question mec j'envoyais des ondes télépathique au eng/fr dans ta bio quand j'ai reblog le post#du coup maintenant la curiosité frappe : comme le français est ta seconde langue c'est quoi ton expression pref ?#asks#hysterionic#frenchposting
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Après une nuit passée dans un mixeur géant, le vent dans la toile de tente ayant pour effet de transformer mon lieu de repos en vibromasseur intempestif, nous reprenons la route sous de délicates rafales allant jusqu'à 120 km/h.
La route est absolument passionnante, parsemée de touffes d'herbe, de restes de guanacos (ils sont aux lamas ce que les vigognes sont aux alpagas) plantés sur des clôtures, de drôles d'émeus s'étant visiblement trompés de continent, et de balles de pailles (aussi nommées virevoltants) roulant sous nos roues telles un décor de fond de western.
Note: sur la photo ci dessous, vous pouvez admirer le camouflage des émeus. (Et les talents de photographe de Dr Rathatton)
Entre les rafales nous téléportant aléatoirement d'un côté ou de l'autre de la route et les zig zags que nous devons faire afin d'esquiver les nids de poules parsemant le bitume, Dr X finit la journée un peu vert.
De mon côté, je découvre avec désespoir que lorsque le besoin de vidanger sa vessie se fait trop urgent, il est particulièrement important de bien calculer le sens du vent. (On vous a parlé des rafales à 120 km/h ?)
Je termine donc la journée avec un pantalon à laver et une tong disparue mystérieusement, probablement emportée par une rafale lors d'un de nos nombreux arrêts pour raccrocher la bâche de protection sur le toit.
A notre grand désarroi, la grotte aux mains que nous devions faire aujourd'hui est fermée (il paraît que quand il y a du vent, c'est dangereux d'être en bas d'un canyon, on risque de se prendre des roches. Les locaux sont faibles.), et la petite randonnée que nous souhaitions effectuer en remplacement est tout autant fermée. Bon, on manque s'envoler en sortant du van, c'est peut être pas une siiiiii mauvaise idée.
Tant pis, on se contente de longer ces jolies concrétions rocheuses. On devient vachement moins difficile quand on a passé la journée à zieuter des mottes de terre.
Finalement, arrivant dans le village de Bajo Caracoles, composé de deux maison en ruine et une auberge qui fait hôtel/restau/épicerie/station essence, nous nous demandons si nous pouvons dormir sur place. La porte de la voiture refusant de s'ouvrir à cause de la pression du vent répond à notre question : ce soir, on dort en dur !
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LES VESTALES DE LA POÉSIE VOUS PRENNENT-ELLES POUR DES VESSIES Ô ! PETALES
Robert Desnos
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Vendredi 24 mars 2023
Le méprisant de la République ?
Selon Pascal Praud, malheur au pays dont le président est un enfant gâté, capricieux, orgueilleux et sans limite ! Un enfant qui n’aime pas la foule, qui n’aime que les Français qui cèdent à ses caprices, à des pulsions tyranniques d’enfant-roi.
Dans les cortèges de manifestants on a vu à plusieurs reprises le visage d’Emmanuel Macron avec le qualificatif « méprisant de la République ».
C’est évidemment choquant, mais est-ce totalement injustifié ?
Ce n’est pas l’intelligence du président qui est en cause, un peu plus son passé de technocrate et banquier - ce que Pascal Praud résume dans la formule des « petits hommes gris » - mais surtout son talent et ses capacités de communicant et de comédien.
L’élève de Brigitte Macron a cru, et ce qui est plus grave croit encore que sa parole peut nier le réel et faire prendre les vessies pour des lanternes, les citoyens pour des enfants crédules et soumis, des esclaves consentants. Ce qui conduit fatalement à une certaine désinvolture, à un total cynisme, à un ressenti de mépris.
Cette attitude est fréquente dans les régimes dictatoriaux. Dans les régimes démocratiques, comme le nôtre, elle n’est pas supportable dans la durée.
Le président du « en même temps » en bon comédien sera-t-il capable de changer totalement de personnage et faire preuve d’empathie, de compassion, de justice en venant au secours des plus faibles et des plus démunis, en sauvant les classes moyennes du déclassement, en venant soigner les plus malades ? Pas impossible. Mais sera-t-il crédible dans ce rôle ? Réponse lors des Césars.
François BAUDILLON *
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ROSSO D&G
Russu - quasi cento versi d’amore
I russu, focu e passiuni vesti u to cori i liuni cu du russu culur du sangu chi duma a to anima i rangu chi ti fa signura e rigina ill’anima mei, a patti divina. Russa a to bucca i lava ca mei sempri disiava nte jonna chiù niri e dispirati ca vita era jaggia pi dannati, unni a to bucca era l’unica potta chi putia canciari ogni mala sotta da bucca chi sempri sugnava e chi era focu sa baciava. Russu focu, comi russu ranatu russu comi cori dispiratu russu comi u silenzio da motti a luna nova nto scuru da notti. Russu u to ricoddu a to essenza du surrisu ca me anima penza chi è luci, gioia, spiranza e disiu a fozza chi nuddu sapi o vinciu picchì, unni a mei arriva e finisci, dà a toi, ncumincia e ciurisci. Russu, comi curallu o rubinu senzu priziusu d’avitti vicinu, russu comi raggia, comi a gilusia picchì non po essiri vita senza i tia chi si tuttu, du me tempu signura piaciri, gioia chi sempri dura, si u me mari unn’ alleggiu affunnu si u cielu, c’abbrazza u me munnu si a rosa russa chi duma l’estati di jonna i focu, di notti ncantati. Russu comi curallu st’amuri, da vita sangu, ill’anima sapuri chi vinci lacrimi e malanova chi nte jonna biddizza trova e a mia ma dugna senza pinsari senza pritenni, senza limusinari picchi pi tia sugnu luci, sciatu, acqua, ventu attia ncatinatu. Russi i paroli a me lingua, i me vessi russi l’occhi toi disiati e mai pessi russu stu bisognu senza fini chi inchi u cori, a testa, i vini. Russi i labbri supra a canni janca u to ciauru chi studdi e mai stanca russu stu disiu chi nasci e mai finisci brucia l’anima e studdi quannu brisci. Russu stu to rispiru nto scuru chi è u me passatu, u me futuru. russa a to vaddata, chi voli e disia chi è patruna, chi è mavaria. Russa a to buci quasi na carizza vita mivuta , brizza dopu brizza. russu, u focu intra u to cori unni u mei brisci e sinni mori. Russu a poesia chi m’arrigali chi è u me rispiru i me ali chi tu cunfunni, studdi, spasci ma chi sulu cu tia, sempri rinasci. Russu come a puma nvilinata comi na storia fausa e strammata russu pumadoru, russu girasa russu fragula, russu tettu i na casa russu u sangu di Cristu sabbaturi a so curuna i spini u so duluri, russu jammuru e russu calamaru russu stu pinzatti duci e amaru russu comu u pipi spizzeri chi bampa comi l’occhi toi chi nenti scampa russu u tempu chi passa viatu chi è patruni d’ogni cosa du criatu u tempu chi tuttu crea e cumanna chi ogni surrisu, mbrogghia e scanna Russu comi na stidda o funnu mari comi u vinu chi fa ridiri e cantari russu comi mantellu di nu paladinu comi a camicia di nu garibaldinu comi u curaggiu c’amu aviri p’essiri libbiri e a vita sapiri. Russu i to silenzi quannu l’amuri finiu e ca passiuni u focu eccu muriu resta na paci chi nuddu capisci chi bola pu munnu tuttu nzittisci e sugnu na fogghia motta, menza sicca tu u ventu ca pigghia e picca a picca auta nto cielu liggiera dà a manni cancillannu ogni duluri i sta me canni puttannumi unni nasciunu i stiddi unni i suli sunnu sulu spisiddi unni nenti dugna luci e piaciri dà, unni tuttu quantu pari finiri e i da supra, unni tuttu è nicu nicu capiri ca fini, tuttu quantu dicu avi pi sensu u nenti chi poi sugnu picchi sugnu, sulu l’amuri chi ti dugnu amuri chi jè focu, ranni, immensu amuri chi è ragiuni ed è sensu puru quann’è mussu contru mussu, amuri russu, russu e russu!
Di rosso, fuoco e passione rivesti il tuo cuore di leone, con quel rosso, colore del sangue che accende la tua anima di rango, che ti fa signora e regina, della mia anima, la parte divina. Rossa la tua bocca di lava che la mia desiderava sempre in quei giorni neri e disperati quando la vita era una gabbia per dannati e dove la tua bocca era l’unica porta che poteva cambiare ogni sfortuna, quella bocca che sempre sognavo, che era fuoco se la baciavo. Rosso fuoco come un rosso melograno, rosso come un cuore disperato, rosso come il silenzio della morte, la luna nuova nel buio della notte. Rosso il tuo ricordo, la tua essenza, quel sorriso che la mia anima ricorda e che è luce, gioia, speranza e desiderio; la forza che nessuno conosce e vince, perché dove la mia forza arriva e finisce, lì la tua incomincia e fiorisce. Rosso come corallo e rubino, il senso prezioso di averti vicino, rosso come rabbia, come la gelosia, perché non può esistere vita senza di te, che sei tutto, signora del mio tempo, piacere, gioia eterna, sei il mare dove lento affondo, sei il cielo che abbraccia il mondo, sei la rosa rossa che accende le estati, quei giorni di fuoco, quelle notti incantate. Rosso come corallo è quest’amore che è sangue della vita e sapore dell’anima, che vince le lacrime, la sfortuna, che trova la bellezza nei giorni e me la dona senza pensarci, senza pretendere o elemosinare perché per te sono la tua luce, il tuo respiro, l’acqua, il vento a te incatenato. Rosse le parole della mia lingua, i miei versi, rossi gli occhi tuoi desiderati e mai persi, rosso questo bisogno di te senza fine, che riempie il cuore, la testa e le vene rosse le mie labbra sulla pelle bianca, il tuo profumo che stordisce e mai stanca, rosso questo desiderio che nasce e mai finisce, che brucia l’anima e stordisce appena nasce. Russo il tuo respiro nel buio, che è il mio passato, il mio futuro, rosso il tuo sguardo, che vuole e desidera, che è padrona, che è magia. Rossa la tua voce, quasi una carezza, vita bevuta goccia dopo goccia, rosso il fuoco dentro al tuo cuore dove il mio inizia e muore. Rossa la poesia che mi regali che è il mio respiro, le mie ali, che tu confondi, stordisci, rovini, c+ma che solo con te rinasce. Rosso come la mela avvelenata, come una storia falsa e stupida, rosso pomodoro, rosso ciliegia, rosso fragola, rosso come il tetto di una casa, rosso sangue del Cristo salvatore, la sua corona di spine, il suo dolore; rosso come gambero e il rosso calamaro, rosso questo pensarti dolce e amaro , rosso come il peperoncino che brucia, come gli occhi tuoi da cui niente si salva, rosso il tempo che passa velocemente, che è padrone di ogni cosa nel creato, quel tempo che tutto crea e comanda che ogni sorriso imbroglia e uccide; rosso come una stella in fondo al mare, come il vino che fa ridere e cantare, come il mantello di un paladino, come la camicia di un garibaldino, come il coraggio che dobbiamo avere per essere liberi e conoscere la vita. Rosso il tuo silenzio quando il sesso e finito e che con la passione, il fuoco è morto lasciando una pace che nessuno capisce, che vola per il mondo e tutto azzittisce ed io sono come una foglia morta, quasi secca, e tu sei il vento che la prende e poco a poco, alta nel cielo, leggera la mandi, cancellando ogni dolore dalla mia carne, portandomi dove nascono le stelle, dove i soli sono solo scintille, dove nulla dona luce e piacere, lì dove tutto quanto sembra finire e da lassù dove tutto è piccolissimo capire alla fine, che tutto quello che dico ha come senso il niente che sono, perché io sono solo l’amore che ti dono, l’amore che è fuoco grande, immenso, amore che è ragione e motivo, anche quando è labbra contro labbra, amore che è rosso, rosso e rosso.
Red, fire and passion cover your lion heart, by with that red, blood color that lights up your noble soul, which makes you lady and queen and, of my soul, the divine part. Red your lava mouth that mine always desired in those black and desperate days when life was a cage for the damned and where your mouth was the only door that could change any misfortune, that mouth I always dreamed of, which was fire if I kissed her. Fire red like a pomegranate red, red like a desperate heart, red like the silence of death, the new moon in the dark of the night. Your memory is red, your essence, that smile that my soul remembers and that is light, joy, hope and desire; the strength that no one knows and wins, because where my strength arrives and ends, there yours begins and flourishes. Red like coral and ruby, the precious sense of having you near, red like anger, like jealousy, because life can't exist without you, you who are everything, lady of my time, pleasure, eternal joy, you are the sea where I slowly sink , you are the sky that embraces the world, you are the red rose that lights up the summers, those days of fire, those enchanted nights. Red as coral is this love which is the blood of life and the taste of the soul, which overcomes tears, misfortune, which finds beauty in days and gives it to me without thinking about it, without demanding or begging because for you I am your light , your breath, the water, the wind chained to you. Red the words of my language, my verses, red your desired and never lost eyes, red this endless need for you, which fills the heart, the head and the veins Red my lips on white skin, your perfume that stuns and never tires, red this desire that is born and never ends, that burns the soul and stuns as soon as it is born. I snore your breath in the dark, which is my past, my future, red your gaze, which wants and desires, which is mistress, which is magic. Your voice is red, almost a caress, life drunk drop by drop, the fire inside your heart is red where mine begins and dies. Red is the poetry you give me which is my breath, my wings, which you confuse, stun, ruin, but which is reborn only with you. Red like the poisoned apple, like a false and stupid story, tomato red, cherry red, strawberry red, red like the roof of a house, blood red of Christ the savior, his crown of thorns, his pain; red like shrimp and squid red, red this thinking of you sweet and bitter, red like burning pepper, like your eyes from which nothing is saved, red the time that passes quickly, which is master of everything in creation, that time that everything creates and commands that every smile cheats and kills; red like a star at the bottom of the sea, like wine that makes you laugh and sing, like a paladin's cloak, like a Garibaldian's shirt, like the courage we must have to be free and to know life. Your silence is red when sex is over and that with passion, the fire is dead leaving a peace that no one understands, that flies around the world and silences everything and I am like a dead leaf, almost withered, and you are the wind who takes it and little by little, high in the sky, sends it lightly, erasing all pain from my flesh, taking me to where the stars are born, where the suns are only sparks, where nothing gives light and pleasure, there where everything seems to end and from up there where everything is very small to understand in the end, that everything I say has meaning in the nothingness that I am, because I am only the love that I give you, the love that is great, immense fire, love that is reason and sense, even when it's only lips to lips, love that's red, red and red.
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